Cette semaine, la Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies est devenue un investisseur participant à Nature Action 100, la première initiative mondiale d’engagement des investisseurs pour répondre à la crise urgente de la nature et à la perte de biodiversité dans le monde. Au total, 190 investisseurs institutionnels participants, représentant 23,6 mille milliards de dollars d’actifs sous gestion ou conseillés, s’engageront avec 100 entreprises dans des secteurs clés à travers le monde pour mener les actions d’entreprise nécessaires pour protéger et restaurer la nature et les écosystèmes.

« La communauté internationale est alarmée par la perte continue de la biodiversité et a appelé à la contribution du secteur financier pour aider à mettre en œuvre le Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal récemment adopté. C’est pourquoi la Caisse doit agir maintenant. La Caisse s’appuiera sur sa solide expérience auprès des entreprises pour la préservation et la restauration de la nature », a déclaré Pedro Guazo, Représentant du Secrétaire général pour l’investissement des actifs de la Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies.

La Caisse est un leader en matière d’investissements durables et est devenu signataire en 2022 de la Déclaration du secteur financier de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP 15) – une initiative mondiale engageant la communauté financière à contribuer à la protection et à la restauration de la biodiversité et des écosystèmes par le biais d’activités de financement et d’investissements.

Pour en savoir plus sur les efforts d’investissement durable de la Caisse, veuillez visiter : https://www.unjspf.org/fr/the-fund/sustainable-investing/

À propos de Nature Action 100

Nature Action 100 est une initiative mondiale d’engagement des investisseurs visant à susciter une plus grande ambition et action d’entreprise visant à réduire la perte de la nature et de la biodiversité. Les investisseurs participant à l’initiative engagent des entreprises dans des secteurs clés considérés comme d’importance systémique pour inverser la perte de la nature et de la biodiversité d’ici 2030.