La Caisse continue de gérer environ 82 % de son portefeuille en interne et cela porte ses fruits. Selon une étude indépendante réalisée par « CEM Benchmarking », une société spécialisée dans la comparaison des fonds d'investissement à travers le monde, la Caisse a obtenu des résultats supérieurs à ceux de ses homologues en termes de compétitivité et de rentabilité des investissements.

« La gestion interne de la majeure partie de notre portefeuille nous permet de mieux contrôler nos dépenses, ce qui se traduit par une performance supérieure à celle de nos pairs en termes de rentabilité », a déclaré M. Pedro Guazo, représentant du Secrétaire général pour l'investissement des actifs de la Caisse. « Et comme le montrent les résultats, nous nous situons également bien au-dessus de la médiane en termes de rendement ».

L'analyse a comparé les performances de la Caisse au cours de la période de cinq ans se terminant le 31 décembre 2023, à celles de 281 fonds de pension mondiaux et d'un sous-ensemble de pairs. Étant donné que la taille influe sur les coûts, l'analyse compare la Caisse à un groupe de 19 homologues dont les actifs sous gestion sont compris entre 47,5 milliards et 142,9 milliards de dollars américains. Ce groupe fournit les comparaisons les plus significatives en termes de rendement des investissements, de coût total des investissements et d'autres paramètres. Au 31 décembre 2023, la Caisse gérait 88,1 milliards de dollars d'actifs.

Les principaux enseignements de l'analyse sont les suivants :

« Cette étude confirme, de la part d'un tiers respecté, que ’le Bureau de la gestion des investissements gère les actifs de la Caisse de manière efficace et efficiente », a ajouté M. Guazo. « Elle montre à nos participant.e.s, à nos retraité.e.s, à nos bénéficiaires et à l'ensemble des parties prenantes que les pensions dont nous avons la charge sont entre de bonnes mains ».

Tous les membres du personnel de la Caisse sont également participants.

Pour télécharger l'analyse comparative des investissements 2019-2023 de la CEM, cliquez ici.